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Un modèle européen, fiabilisé et optimisé par l’équipe R&D LightOn

Alfred Sv5 Pn Alfred-sv5 s’appuie sur un backbone de 24 milliards de paramètres de dernière génération, spécifiquement finetuné par l’équipe R&D de LightOn, avec ré-entraînement complet des LoRA utilisés dans la pipeline RAG de LightOn. L’objectif : un comportement plus stable, de meilleures réponses sur les données métier et une intégration fluide dans les architectures de recherche et d’agents d’entreprise. Cette version apporte également un correctif majeur à un phénomène parfois observé dans Alfred 4.2, qui pouvait entraîner des instabilités ou des boucles de génération dans certaines situations. Alfred-Sovereign 5 offre une stabilité renforcée, notamment sur les requêtes longues, complexes ou répétitives.

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Quelques repères techniques sans en faire le sujet principal

Dans une architecture RAG mature, le cœur du sujet reste la qualité du retrieval et de l’orchestration, pas la fiche technique du modèle. Mais pour les équipes qui souhaitent des repères, Alfred-sv5 repose sur :
  • une fenêtre de contexte jusqu’à 32 000 tokens, utile lorsque de longs prompts doivent être traités en une fois,
  • une architecture optimisée pour le suivi précis des instructions et la réduction des répétitions ou boucles infinies,
  • un support robuste des fonction calls et sorties structurées, facilitant l’intégration avec des outils, agents et systèmes métiers.
Ces caractéristiques viennent compléter le travail réalisé en amont : indexation, embeddings, retrieval, filtrage et composition de contexte.

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Souveraineté vs performance : un choix assumé, bientôt complété

Le lancement d’Alfred-Sovereign 5 répond à un besoin clair du marché : certaines organisations tiennent avant tout à disposer d’un LLM européen, même lorsque d’autres modèles open source permettraient déjà d’obtenir une confidentialité complète. Pour adresser de façon transparente ces attentes parfois très différentes, l’offre LightOn se structure autour de deux lignes de modèles :
  • Alfred-Sovereign : pour celles et ceux qui privilégient l’origine européenne du modèle et l’alignement avec une doctrine politique ou réglementaire interne.
  • Alfred-Frontier (bientôt disponible) : pour les organisations qui privilégient avant tout la performance brute et les meilleurs scores possibles, indépendamment de l’origine du modèle.

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Un composant d’un système RAG pas une fin en soi

Dans une architecture RAG aboutie, le LLM n’est qu’un maillon parmi d’autres : indexation, embeddings, retrieval, contrôles, agents, post-traitements…
Alfred-Sovereign 5 s’inscrit comme un modèle cœur souverain, aligné avec l’ensemble de cette chaîne, mais sans prétendre à lui seul faire la performance du système. C’est précisément cette combinaison RAG bien conçu + modèle finetuné + options souveraineté/performance qui permet aux organisations de concilier exigences politiques, contraintes réglementaires et impact concret sur le terrain.